
C'est une thérapie du contact, humaniste et existentielle.
Elle est née dans les année 1950 avec le livre "Gestalt-therapy", autour de Laura et Fritz Perls ainsi que Paul Goodman, et s'inscrit dans le courant des philosophies et thérapies humanistes et existentielles, auquel Irvin D. Yalom prend également part.
La spécificité de la Gestalt-thérapie réside dans sa "perspective de champ". Le praticien prend en compte la situation plutôt que de considérer la personne de manière individuée. C'est souvent le contact qui fait mal, même le contact à soi-même est déjà une forme de contact.
La situation nous crée et non l'inverse : cette perspective remet le thérapeute en prise avec ce que vit la personne accompagnée car il fait aussi partie de la situation, l'influence et est influencée par celle-ci, tout comme l'environnement est pris en compte.
C'est ainsi une approche du comment plutôt que du pourquoi : comment est le contact ou n'est pas, permet d'aller de rester dans la situation, dans une approche holistique prenant en compte le corps, tout en pouvant aussi explorer le passé qui se répète.
Ainsi client et gestalt praticien cheminent ensemble, afin de que la personne accompagnée puisse retrouver le chemin d'un contact fluide vers l'environnement dans lequel il puisse déployer son être au monde et sa responsabilité.
« Vivez pour le moment ces questions. Peut-être, peu à peu, sans vous en apercevoir, vivrez-vous un jour dans la réponse. » Rainer Maria Rilke – Lettres à un jeune poète (1903)
La Gestalt, c'est quoi ?

C'est une thérapie du contact, humaniste et existentielle.
Elle est née dans les année 1950 avec le livre "Gestalt-therapy", autour de Laura et Fritz Perls ainsi que Paul Goodman, et s'inscrit dans le courant des philosophies et thérapies humanistes et existentielles, auquel Irvin D. Yalom prend également part.
La spécificité de la Gestalt-thérapie réside dans sa "perspective de champ". Le praticien prend en compte la situation plutôt que de considérer la personne de manière individuée. C'est souvent le contact qui fait mal, même le contact à soi-même est déjà une forme de contact.
La situation nous crée et non l'inverse : cette perspective remet le thérapeute en prise avec ce que vit la personne accompagnée car il fait aussi partie de la situation, l'influence et est influencée par celle-ci, tout comme l'environnement est pris en compte.
Ainsi client et gestalt-praticien cheminent ensemble, afin de que la personne accompagnée puisse retrouver le chemin d'un contact fluide vers l'environnement, dans lequel il.elle.iel pourra déployer son être et sa responsabilité, entrer dans le mouvement du monde, et y re-trouver sa place.
« Vivez pour le moment ces questions. Peut-être, peu à peu, sans vous en apercevoir, vivrez-vous un jour dans la réponse. » Rainer Maria Rilke – Lettres à un jeune poète (1903)
La Gestalt, c'est quoi ?

C'est une thérapie du contact, humaniste et existentielle.
Elle est née dans les année 1950 avec le livre "Gestalt-therapy", autour de Laura et Fritz Perls ainsi que Paul Goodman, et s'inscrit dans le courant des philosophies et thérapies humanistes et existentielles, auquel Irvin D. Yalom prend également part.
La spécificité de la Gestalt-thérapie réside dans sa "perspective de champ". Le praticien prend en compte la situation plutôt que de considérer la personne de manière individuée. C'est souvent le contact qui fait mal, même le contact à soi-même est déjà une forme de contact.
La situation nous crée et non l'inverse : cette perspective remet le thérapeute en prise avec ce que vit la personne accompagnée car il fait aussi partie de la situation, l'influence et est influencée par celle-ci, tout comme l'environnement est pris en compte.
Ainsi client et gestalt-praticien cheminent ensemble, afin de que la personne accompagnée puisse retrouver le chemin d'un contact fluide vers l'environnement, dans lequel il.elle.iel pourra déployer son être et sa responsabilité, entrer dans le mouvement du monde, et y re-trouver sa place.
« Vivez pour le moment ces questions. Peut-être, peu à peu, sans vous en apercevoir, vivrez-vous un jour dans la réponse. » Rainer Maria Rilke – Lettres à un jeune poète (1903)
